ALEXANDRE VAUTHIER

LE COUTURIER-SCULPTEUR DES FEMMES

Le couturier français a le vent en poupe et la côte auprès des femmes les plus saisissantes de la planète. Lady Gaga, Rihanna ou encore Beyonce comptent aujourd’hui parmi ses fidèles clientes et arborent régulièrement sur les tapis rouges les tenues du créateur.

Retour sur le parcours de l’artiste… Diplômé de l’école ESMOD en 1994, Alexandre Vauthier intègre en 1993 la Maison Mugler en qualité de stagiaire puis grimpe rapidement les échelons en devenant assistant.

Les années se succèdent et quatre ans après son entrée dans la maison de haute couture, en 1997, les collections couture de la marque lui sont confiées. Une expérience enrichissante à travers laquelle le travail de la matière se révèle complexe et fascinante à la fois .

Fort de cette collaboration et de ses voyages en Asie et aux Etats-Unis, le couturier ressent très vite l’envie d’exprimer sa créativité dans sa propre maison de couture. C’est ainsi qu’en 2009, les créations et l’univers Vauthier voient le jour auprès du grand public et le succès est très vite au rendez-vous. La presse, les clients et le milieu de la mode sont fascinés par les coupes franches, modernes, structurées et la noblesse des matières utilisées, véritable signature de l’artiste. Amoureux de la femme, Alexandre Vauthier est l’homme qui voit en chaque femme l’amazone, l’élégante et l’audacieuse, l’homme qui resculpte le corps des femmes en leur offrant, à travers ses créations, des histoire uniques.

Par Sabrina Fouinat

L’HÔTEL A-STAY

UN SEJOUR INTIME ET CONVIVIAL

L’hôtel A-Stay est à la pointe de la technologie, d’où vient ce concept d’innovation ?
L’idée est venue de Ben Van Loo, homme d’affaire anversois qui a voulu s’intéresser à la tranche d’âge des millenials. On ne voulait pas faire de technologie au nom de la technologie, on a très vite identifié le fait que les nouveaux voyageurs souhaitent se servir eux-mêmes et être architecte de leur séjour. La deuxième chose, c’est la modularité grâce à la technologie : chez A-Stay, on paye uniquement ce que l’on consomme. Cela permet de se servir comme on veut quand on veut mais aussi d’adapter l’offre, dans les chambres : vous pouvez changer la lumière, la température, surfer sur Netflix sur un écran de très bonne qualité, la technologie permet aussi cela. Il y a également la phase cachée de l’iceberg, on essaie de viser l’excellence opérationnelle de l’établissement.

Pourquoi choisir Anvers pour l’ouverture ?

Il y a un très grand ancrage local dans tout ce qui est immobilier. Ben Van Loo a grandi tout prêt d’ici et on connait très bien la ville d’Anvers. On a eu l’occasion d’acheter ce terrain qui est parfaitement situé. On veut des villes très métropolitaines, à Anvers il y a beaucoup d’Hollandais, d’Allemands, de Français. On vise leCsREjeDuITnPeHsOvTOoyageurs qui veulent un service convenable à un prix abordable, ce segment-là n’était pas du tout saturé à Anvers.

Vous mettez en valeur les artistes locaux pour le décor, à part ça, comment est-ce que vous choisissez vos partenariats ?
Locaux, c’est un critère en effet. La deuxième chose est la durabilité qui est très importante pour nous. Dans durabilité il y a les 3 P : People Profits Planet. People pour l’interaction humaine, nos salades viennent d’à quelques centaines de mètres d’ici. Charlotte Decot qui a peint le mur vient de la ville d’Anvers ça c’est la partie ancrage local et contact personnel. La deuxième chose c’est la durabilité, on veut des produits de bonne qualité. La plupart des produits sont faits localement et on a fait l’exercice d’aller voir l’origine du produit. Profitabilité, si vous regardez les prix du « food and beverage » et les prix de la nuitée, on essaie d’être vraiment honnête. On veut être profitable par la qualité et par le volume, pas par la marge, on préfère avoir un prix très abordable et vendre plus que vendre très peu à un prix élevé.

Pouvez-vous nous en dire plus sur ces valeurs écologiques ?
Ça commence par où nous choisissons l’emplacement de nos bâtiments, toujours très proche des transports en commun. La 2ème chose, la conception du bâtiment, nous cherchons à ce que chaque bâtiment soit certifié BRIAM. C’est un label de durabilité international, on cherche au minimum le niveau « Very good ». Ça se reflète dans le choix des matériaux, leur origine, leur certification, dans l’utilisation d’énergies renouvelables, à Diegem on aura énormément de panneaux solaires. Les locaux qui travaillent connaissent la ville, c’est aussi une forme de durabilité et de proximité importante.

Quel genre d’événements allez-vous abriter au sein de l’hôtel ?
On cherche des événements qui connectent les gens qui dorment ici et les gens qui vivent dans le quartier. Ça peut être parfois « Faites vous-même votre cocktail », faire une « Barbecue party » dans le jardin extérieur. On songe aussi à faire, par exemple, des « Tour guide by jogging » c’est visiter la ville en faisant un jogging le matin. Notre marque de fabrique c’est d’être connecté localement donc dans chaque A-Stay vous allez vous y reconnaître au point de vue des technologies, mais il sera propre au quartier dans lequel il est ancré.

LA GRIVOISERIE

RESTAURANT

Comment est née la Grivoiserie ?

Je suis Thibaut, Chef cuisinier et moi Dimitri qui m’occupe de l’accueil et de la salle. Nous avons ouvert notre restaurant le 9 Mars dernier. Petite subtilité la Grivoiserie est à la fois la combinaison de nos deux noms mais aussi la concrétisation de notre belle amitié.

Comment avez-vous vécu professionnellement la période du confinement ?
Nous avons réouvert la Grivoiserie le 11 mai dernier, uniquement pour la vente à emporter au vu du contexte sanitaire. Les gens du quartier sont rapidement venus nous voir et nous ont apporté leur soutien. Une sorte « d’énergie solidaire » s’est alors créée autour de nous et nous avons pu nous faire connaître. Au-delà de cet aspect solidaire très encourageant pour nous, nous pensons que les gens du quartier venaient comme tout le monde de passer un moment compliqué avec le confinement, et qu’ils étaient très heureux également de retrouver un peu de vie et de chaleur humaine via leurs commerçants de quartier, le plaisir de « presque » retourner au restaurant.

"Petite subtilité la grivoiserie est à la fois la combinaison de nos deux noms mais aussi la concrétisation de notre belle amitié.."

Le déconfinement a dû être une délivrance pour vous ?

Depuis la réouverture officielle, nous avons eu l’immense chance de pouvoir disposer d’une petite terrasse éphémère qui nous permet de recevoir une vingtaine de clients par service (ce qui est exactement la jauge de notre restaurant à la base – 22 couverts). Nous avons aménagé cette terrasse, en essayant de la rendre agréable, accueillante et que les clients puissent s’y sentir bien.

Cette situation inédite nous a aussi poussé à nous réinventer. En effet, nous avons décidé de proposer tous les jours de nouveaux plats et de proposer des prix plus doux. Nous  changeons donc tous les jours nos menus, ce qui en soi nous donne un travail supplémentaire (courses, préparation en cuisine, accords avec les vins de la carte…) mais ce nouveau fonctionnement porte ses fruits et attire tous les jours un peu plus de monde. En effet, depuis la mi-juin les clients sont vraiment au rendez-vous, et nous sentons que nos efforts ont bien payé… Le bouche-à-oreille a fonctionné dans le quartier et nous accueillons tous les jours de nouveaux clients mais aussi nos tous premiers habitués. C’est un vrai plaisir de faire fonctionner ce lieu que nous venions finalement tout juste d’appréhender et d’y prendre enfin nos marques pour, nous l’espérons, un bon moment !

"LE BOUCHE-A-OREILLE A FONCTIONNE DANS LE QUARTIER"

DELY FLEURS

DÉCORATION FLORALE

Un projet à réaliser dans le domaine de l’évènementiel et en recherche d’un prestataire pour vous aider dans cette mise en oeuvre ?

Tout est possible avec l’atelier Dely fleurs, spécialiste de la décoration florale en mariage, en évènement privé et professionnel. Situé à 20 minutes de Paris, à Longpont sur Orge dans le 91, vos rêves les plus fous prendront solidement forme entre les mains de cet expert de 20 ans. « Avide de nouveautés, toujours en quête de nouvelles idées, nous aimons vous surprendre en vous proposant des compositions florales des plus créatives et des plus originales. Quelques soit votre sensibilité, nous réalisons pour vous des compositions uniques qui répondront à vos attentes dans le design floral. »

Un positionnement gage d’étonnement et de satisfaction. De plus, pour vous accueillir au mieux et vous accompagner dans vos choix, une équipe de professionnels est mise à votre disposition afin de vous offrir une écoute active.

Des planifications de rendez-vous en atelier vous permettront de visualiser lors d’une démonstration tout le savoir-faire de Dely fleurs comme la composition de votre bouquet de mariée ou encore la décoration de votre salle de réception. Quelque soit l’évènement, défilés haute couture, séminaires, soirées privées, expositions, concerts, vitrine boutique, abonnement floral d’hôtels, spectacles, quelque soit la nature de l’occasion, Dely fleurs donnera vie à vos envies .

Retrouvez l’atelier Dely Fleurs 52 rue du Perray
91310 Longpont sur Orge

"Avide de nouveautés, toujours en quête de nouvelles idées, nous aimons vous surprendre en vous proposant des compositions florales des plus créatives"

AYA NAKAMURA

Nakamura est une chanteuse née le 10 mai 1995 à ya Nakamura is a singer born May 10, 1995 in Bamako, Bamako au Mali. Alors qu’elle est enfant, ses parents emménagent en France. La famille, une famille de griots (des conteurs-chanteurs) s’installe à Aulnay-Sous- Bois. La jeune fille vit dans un foyer baigné de musique ce qui lui permet de développer son propre univers mais surtout de se lancer elle aussi dans la chanson. Elle se choisit le nom de Nakamura, en hommage à un personnage de la série «Heroes», Hiro Nakamura.

Poussée par ses envies Aya Nakamura écrit rapidement ses premiers textes et ses premières chansons. Elle utilise alors les réseaux sociaux pour connaître l’avis du public. Deux de ses premiers titres sont particulièrement remarqués, «Karma» et «J’ai mal».

La jeune femme écrit sur des sujets qui la préoccupent comme les relations ou l’amour. Après avoir atteint 3 millions de vues avec «J’ai mal», Aya Nakamura décide de se lancer à fond dans la chanson.