Comment est née la Grivoiserie ?
Je suis Thibaut, Chef cuisinier et moi Dimitri qui m’occupe de l’accueil et de la salle. Nous avons ouvert notre restaurant le 9 Mars dernier. Petite subtilité la Grivoiserie est à la fois la combinaison de nos deux noms mais aussi la concrétisation de notre belle amitié.
Comment avez-vous vécu professionnellement la période du confinement ?
Nous avons réouvert la Grivoiserie le 11 mai dernier, uniquement pour la vente à emporter au vu du contexte sanitaire. Les gens du quartier sont rapidement venus nous voir et nous ont apporté leur soutien. Une sorte « d’énergie solidaire » s’est alors créée autour de nous et nous avons pu nous faire connaître. Au-delà de cet aspect solidaire très encourageant pour nous, nous pensons que les gens du quartier venaient comme tout le monde de passer un moment compliqué avec le confinement, et qu’ils étaient très heureux également de retrouver un peu de vie et de chaleur humaine via leurs commerçants de quartier, le plaisir de « presque » retourner au restaurant.
Le déconfinement a dû être une délivrance pour vous ?
Depuis la réouverture officielle, nous avons eu l’immense chance de pouvoir disposer d’une petite terrasse éphémère qui nous permet de recevoir une vingtaine de clients par service (ce qui est exactement la jauge de notre restaurant à la base – 22 couverts). Nous avons aménagé cette terrasse, en essayant de la rendre agréable, accueillante et que les clients puissent s’y sentir bien.
Cette situation inédite nous a aussi poussé à nous réinventer. En effet, nous avons décidé de proposer tous les jours de nouveaux plats et de proposer des prix plus doux. Nous changeons donc tous les jours nos menus, ce qui en soi nous donne un travail supplémentaire (courses, préparation en cuisine, accords avec les vins de la carte…) mais ce nouveau fonctionnement porte ses fruits et attire tous les jours un peu plus de monde. En effet, depuis la mi-juin les clients sont vraiment au rendez-vous, et nous sentons que nos efforts ont bien payé… Le bouche-à-oreille a fonctionné dans le quartier et nous accueillons tous les jours de nouveaux clients mais aussi nos tous premiers habitués. C’est un vrai plaisir de faire fonctionner ce lieu que nous venions finalement tout juste d’appréhender et d’y prendre enfin nos marques pour, nous l’espérons, un bon moment !
Un projet à réaliser dans le domaine de l’évènementiel et en recherche d’un prestataire pour vous aider dans cette mise en oeuvre ?
Tout est possible avec l’atelier Dely fleurs, spécialiste de la décoration florale en mariage, en évènement privé et professionnel. Situé à 20 minutes de Paris, à Longpont sur Orge dans le 91, vos rêves les plus fous prendront solidement forme entre les mains de cet expert de 20 ans. « Avide de nouveautés, toujours en quête de nouvelles idées, nous aimons vous surprendre en vous proposant des compositions florales des plus créatives et des plus originales. Quelques soit votre sensibilité, nous réalisons pour vous des compositions uniques qui répondront à vos attentes dans le design floral. »
Un positionnement gage d’étonnement et de satisfaction. De plus, pour vous accueillir au mieux et vous accompagner dans vos choix, une équipe de professionnels est mise à votre disposition afin de vous offrir une écoute active.
Des planifications de rendez-vous en atelier vous permettront de visualiser lors d’une démonstration tout le savoir-faire de Dely fleurs comme la composition de votre bouquet de mariée ou encore la décoration de votre salle de réception. Quelque soit l’évènement, défilés haute couture, séminaires, soirées privées, expositions, concerts, vitrine boutique, abonnement floral d’hôtels, spectacles, quelque soit la nature de l’occasion, Dely fleurs donnera vie à vos envies .
Retrouvez l’atelier Dely Fleurs 52 rue du Perray
91310 Longpont sur Orge
Nakamura est une chanteuse née le 10 mai 1995 à ya Nakamura is a singer born May 10, 1995 in Bamako, Bamako au Mali. Alors qu’elle est enfant, ses parents emménagent en France. La famille, une famille de griots (des conteurs-chanteurs) s’installe à Aulnay-Sous- Bois. La jeune fille vit dans un foyer baigné de musique ce qui lui permet de développer son propre univers mais surtout de se lancer elle aussi dans la chanson. Elle se choisit le nom de Nakamura, en hommage à un personnage de la série «Heroes», Hiro Nakamura.
Poussée par ses envies Aya Nakamura écrit rapidement ses premiers textes et ses premières chansons. Elle utilise alors les réseaux sociaux pour connaître l’avis du public. Deux de ses premiers titres sont particulièrement remarqués, «Karma» et «J’ai mal».
La jeune femme écrit sur des sujets qui la préoccupent comme les relations ou l’amour. Après avoir atteint 3 millions de vues avec «J’ai mal», Aya Nakamura décide de se lancer à fond dans la chanson.
Aurélie Preston naît à Paris en 1992. Sous le signe d’une enfance arrachée, elle échappe à l’orphelinat grâce à sa grand-mère qui la récupère in extremis à 18 mois. A 24 ans, en auto-production, avec une exigence de self-made woman à l’américaine, Preston sort son premier projet « Cérébral ». Les clips de son EP atteindront les 6 millions de vues. Puis en 2019, Preston sort son deuxième EP « Aphorisme » qui lui permet de passer la barre des 10 millions de vues sur sa chaîne Youtube.
Aujourd’hui Preston revient avec un 3ème EP, « Phoenix », essentiellement produit par Laylow & Wit. Laylow apporte son style futuriste largement plébiscité à la chanteuse Preston pour un track de Futur R&B en feu sur « Blanca ». Production impeccable, couleurs RnB sous les infleunces d’un riddim légèrement dancehall, synthés saturés sur le refrain, voix cristalline posant un texte à double sens évoluant entre la blanche et les champs de coton. On retrouve également le producteur Jack Flaag qui avait réalisé « DKR » de Booba derrière le titre « Pas là » de Preston.
« Phoenix », un EP 6 titres à découvrir dès maintenant !
Maîtresse d’un homme marié, la série sénégalaise devenue culte à travers le monde grâce à Kalista Sy. Racky, Cheikh Marème Lala, Birame, Djalika, des personnages attachants, hauts en couleur incarnant des faits de société sous le soleil du Sénégal. Avec 1 500 000 vues en moyenne par épisode, la série est produite en wolof et sous- titrée en français. Un carton sur Youtube. Conviant chaque téléspectateur à la réflexion autour de sujets sensibles et variés, des tabous y sont brisés. Montrer à l’écran des scènes relevant de l’intimité d’une chambre, aborder les thèmes de la polygamie, la dépression, l’émancipation et la violence faite aux femmes, du jamais vu au pays de la Teranga ! Dans un pays musulman à 90 %, la série divise. Ses adeptes l’apprécient pour « ses scènes réelles », ses opposants s’ insurgent contre ses mœurs légères visibles à l’écran. Considéré comme une perversion pour la jeunesse, l’ONG Jamra et le comité de défense morale du Sénégal ont demandé des sanctions et exigé la censure du feuilleton. « Aujourd’hui, c’est une fierté de savoir que nous sommes capables, en tant qu’Africains, de créer des produits qui marchent…du contenu moderne, une très belle direction artistique et un magnifique jeu d’acteur. Avec la série, beaucoup veulent découvrir le Sénégal. C’est une fierté. Marodi TV, aujourd’hui, est la première plate-forme digitale d’Afrique francophone, avec plus de 2 300 000 abonnés. Et c’est bien encourageant. Il suffit d’y croire et de mieux s’organiser pour réussir le pari, de raconter nous-mêmes nos histoires.» Journaliste, scénariste et réalisatrice, Kalista Sy y a cru et a réussi son pari
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